Le conseil en gestion de patrimoine n’est jamais le dépositaire des capitaux qui lui sont confiés.
Les chèques correspondant à votre investissement sont établis à l’ordre d’une banque ou d’une compagnie d’assurances de premier plan, de par sa solidité financière ou la qualité de son actionnariat.
Ce dépositaire vous apporte sa garantie financière pendant toute la durée de vie de votre contrat.
Nous appliquons un cahier des charges reposant sur des critères purement qualitatifs et objectifs.
En matière de placements financiers, nous sélectionnons d’abord un dépositaire ayant une signature de premier plan et offrant un reporting performant à nos clients. Ensuite, nous sommes attentifs à la qualité du ou des gestionnaires.
En assurance-vie, en contrat de capitalisation, en PEA et en compte-titres, nous travaillons beaucoup avec des contrats plateformes en multigestion pour répartir les actifs financiers de nos clients sur les meilleures gestions de la place en termes de rendements et de garantie.
En matière d’immobilier défiscalisant, le premier critère est celui de la sécurité fiscale. Certains dispositifs nécessitent en effet un formalisme rigoureux de la part de l'opérateur et de l'investisseur; citons en particulier la loi Malraux et le statut du loueur en meublé professionnel. Le second critère tout aussi important est celui de l’emplacement qui doit présenter de forts atouts en terme de demande locative, de liquidité à la revente et de valorisation. Il ne s’agit pas ici de faire des spéculations sur ce que sera le marché immobilier dans 10-15 ans mais d’éviter les facteurs négatifs de valorisation comme un prix au m2 surmargé à l’entrée ou une copropriété importante ne comportant pas de mixage entre les accédants à la propriété et les investisseurs locatifs.
Deux cas se présentent :
Soit vous réalisez un investissement sur nos préconisations. Nous sommes alors rémunérés comme prescripteurs par nos différents fournisseurs : banques, sociétés de gestion, compagnies d’assurances ou promoteurs. Il s’agit de rétrocessions de commissions qui n’entraînent aucun surcoût pour l’investisseur. Ainsi, si vous réalisez un placement sur nos préconisations, nous percevons une partie des droits d’entrée et des frais de gestion pris habituellement par la banque ou la compagnie d’assurances. Celle-ci nous rétrocède en fait une partie de sa marge commerciale sans qu’il n’y ait de surcoût pour vous.
Soit vous nous mandatez sur une mission de pur conseil. Nous sommes alors rémunérés par honoraires. Chaque consultation n’est lancée qu’après accord de votre part sur un devis d’honoraires.
Il s’agit d’un conseil en gestion de patrimoine qui possède une certification professionnelle. Il vous est dédié personnellement. De ce fait, il assure le suivi dans le temps des opérations mises en place au départ et vous conseille sur les arbitrages qui seront nécessaires dans l’avenir.
Jusqu’à une date récente, aucune loi ne définissait vraiment cette profession qui à ce jour ne fait pas l’objet d’un diplôme d’Etat comme les professions de médecin ou d’avocat (le DESS en gestion de patrimoine ne donnant pas de titre particulier).
La loi sur la sécurité financière du 01/08/2003 définit un statut de « conseil en investissement financier (CIF) » qui s’applique pour les conseils en gestion de patrimoine indépendants. Sous la houlette de l’AMF, cette loi, en cours d’élaboration encore, va définir les compétences minima du « CIF » qui devra faire partie d’une association professionnelle (l’AMF validant les conditions d’agrément de l’association) et faire preuve d’un code de bonne conduite.
Cette législation s’inscrit dans l’action d’association professionnelle comme le CGPC dont chaque membre :
1) est certifié au terme d’un examen pluridisciplinaire. Cette certification valide une connaissance pratique puisque aucun diplôme d’Etat n’existe.
2) doit respecter une charte déontologique rejoignant celle du « CIF ».